IVOU NEWS Douala : Un homme de 47ans attrapé en train de doig-ter une petite fille de 11ans
Nous sommes à douala, précisément à bepanda ou Mr Sika, est accusé d’abus sur l’enfant de sa voisine qu’il a l’habitude d’envoyer !
Comment le f•ainéant procède t’il ??
Comme la mère de l’enfant se rend constament au marché et laisse l’enfant seule à la maison, Sika gentil voisin connu de tous, comissione la petite fille de 11ans ce avec l’accord de sa mère vu que c’est lui qui veille sur elle quand elle n’est pas là.
Seulement, ce que la mère ne connaît pas c’est qu’après chaque commission, sa fille passe à la caisse ! Une fois la petite fille va même avouer et se plaindre en pleurant auprès de sa mère, mais elle ne la croira pas kooo le voisin ci est trop gentil pour faire ça ! La petite va se rétracter et vivre le même calvaire chaque fois.
Mais comme la justice de Dieu existe, le destin de Sika se voit chamboulé ce matin lorsque les voisins entendent les pelures de la petite fille dans la maison de Sika, qui avait la garde de celle ci en l’absence de sa mère ! Qu’est ce qu’ils découvrent ?? La petite fille pleine de s-ang et un Sika tout paniqué !
La fille va donc tout raconter ! Les voisins vont aller appeler les autorités, qui se rendront immédiatement sur place mais les mêmes voisins refusent quon embarque Sika aussi facilement. Qu’on le leur laisse même 5 minutes pour que sa joie soit totalement retirée !!
#Peupah_Zouzoua Sika a été embarqué, la mère de la fille reste inconsolable mais à qui la faute ??? Elle seule! C’est donc où mène la négligence !!! Chers parents écoutez souvent vos enfants, ne simplifiez pas leurs paroles Tegue interdit, l’envol sera eh antiii
En 2005, la situation de la « basketteuse » a rendu la communauté chinoise en ligne extrêmement triste et compatissante.
Lors d’un accident de la circulation en 2000, Tien Hong Diem, âgée de 4 ans et vivant dans le district de Luc Luong, ville de Khuc Tinh, province du Yunnan, en Chine, a été grièvement blessée et a dû être amputée de tout le bas du corps pour survivre.
Tien Hong Diem enfant
Le terrible accident a presque tout emporté à la jeune fille innocente. Tien Hong Diem vient d’une famille d’agriculteurs, mais en raison de contraintes financières, elle n’avait pas d’argent pour acheter des prothèses de jambes. Le grand-père de Tien Hong Diem a découpé un ballon de basket et l’a ajusté au corps de sa petite-fille pour l’aider à se déplacer. Peu de temps après, les images de Tien Hong Diem ont immédiatement attiré l’attention de l’opinion publique chinoise.
En 2003, Tien Hong Diem confiait dans une interview : « À mon réveil, j’avais très froid aux pieds. J’ai demandé à ma mère de me mettre mes chaussures, mais elle n’a rien dit, seulement des larmes coulaient sur son visage. J’ai alors réalisé que je n’aurais plus jamais l’occasion de remettre mes chaussures . »
Après sa sortie de l’hôpital, sa blessure n’était pas complètement guérie, ce qui l’empêchait de rester assise pendant de longues périodes, d’aller n’importe où ou de prendre soin d’elle-même. La fille innocente du passé est devenue plus calme et plus réservée.
Au cours des cinq années qui ont suivi l’accident, cette jeune fille déterminée s’est progressivement adaptée à ses « nouvelles jambes » et a changé jusqu’à huit ballons de basket.
Dans une émission d’interview destinée aux personnes handicapées, lorsqu’on lui a demandé quel cadeau elle désirait le plus pendant le Têt, Tien Hong Diem a immédiatement répondu : « Je veux un ballon de basket ». Dans cette émission, Tien Hong Diem a également partagé son premier retour à l’école ainsi que le moment déchirant où elle a vu ses camarades pouvoir jouer librement. Mais grâce au bon traitement des professeurs et des amis, Tien Hong Diem est progressivement redevenu optimiste.
Tien Hong Diem joue avec ses amis dans le quartier.
Le tournant qui crée un miracle dans la vie
En 2007, Qian Hongyan a reçu sa première paire de prothèses de jambes gratuites et s’est rendue au Centre de recherche en réadaptation de Pékin pour un traitement de réadaptation. Pendant ce temps-là aussi, le destin semblait sourire à la petite fille.
Grâce aux encouragements et à l’aide de tous, Tien Hong Diem a été accepté au club national de natation pour handicapés. L’entraîneur Truong, qui lui a fait découvrir ce sport, a déclaré : « Tien Hong Diem a un grand potentiel pour la natation. Comme elle utilise le haut de son corps toute l’année, ses bras et ses abdominaux sont plus souples que ceux d’une personne normale, elle est donc très apte à la natation. »
Tien Hong Diem et ses amis dans la même situation ont participé au programme Towards Happiness en 2016.
Au début, le manque de capacité de la partie inférieure de son corps rendait très difficile pour Tien Hong Diem d’apprendre à nager. Elle ne pouvait ni flotter ni bouger dans l’eau.
« Il semble que je n’aie aucun moyen de respirer dans l’eau, je suffoque tout le temps. » – Hong Diem a partagé.
Cependant, avec une forte volonté et un cœur passionné, Tien Hong Diem s’est entraîné avec diligence, nageant 10 000 m chaque jour en 4 heures. Pour devenir une athlète, elle a dû faire beaucoup plus d’efforts que les autres.
Grâce à un processus d’entraînement continu, Tien Hong Diem est devenu un nageur potentiel, une étoile brillante représentant la Chine dans les compétitions sportives pour les personnes handicapées. Les efforts extraordinaires de Tien Hong Diem pour surmonter son destin font que de nombreuses personnes l’admirent et la respectent.
L’entraîneur apprend à Hong Diem à nager
Cependant, elle a subi un grand choc lorsque son grand-père est décédé subitement juste avant le tour de qualification paralympique en 2011. Cela a grandement affecté l’esprit de compétition de Hong Diem et elle n’a remporté qu’une seule médaille de bronze, incapable de passer au tour suivant.
Sous la pression de ne pas pouvoir satisfaire les attentes des fans, Tien Hong Diem est retournée dans sa ville natale. Elle-même a admis que devenir célèbre trop tôt lui avait apporté de nombreuses opportunités mais aussi beaucoup de pression.
Après 3 ans de remise en forme, en septembre 2014, la « basketteuse » revient et remporte le championnat aux Jeux paralympiques de 2014 dans la catégorie 100 m brasse. Lorsqu’on lui demande pourquoi elle aime la natation et a décidé de continuer, Hong Diem répond : « Après l’école, mes amis peuvent courir et jouer, mais pas moi. Mais quand je suis dans la piscine, je suis comme tout le monde, et c’est pour ça que j’aime nager. »
Après 20 ans d’efforts persistants et de nombreux prix prestigieux remportés en natation, en 2019, la « basket-ball girl » a pris sa retraite et a nourri le rêve de devenir entraîneur pour aider de nombreux autres athlètes handicapés.
« Basketball girl » est désormais devenue une belle jeune femme d’une vingtaine d’années.
Aujourd’hui, elle est une employée officielle du Centre pour personnes handicapées, aidant toujours les personnes dans la même situation avec son sourire innocent et son enthousiasme. Interrogée sur l’amour, Tien Hong Diem a timidement répondu : « Je n’ose pas encore y penser, j’ai peur de devoir trouver un petit ami. »
« N’est-ce pas grâce à cet accident que j’ai aujourd’hui ? Je pense que c’est le destin, une étape de ma vie que je dois traverser. Une fois surmontée, je pourrai transformer la douleur en miracle. » – Tien Hong Diem a partagé.
Dans la lutte entre l’espoir et le désespoir, s’il y a suffisamment de courage et de détermination, la victoire appartiendra à l’espoir. La vie est trop difficile, se plaindre ne peut que ruiner nos vies, affrontons l’injustice du destin avec un sourire éclatant comme une « basketteuse » et transformons la souffrance en notre propre « atout ».
Quelques photos publiées par Tien Hong Diem sur sa page personnelle :
Actress Dayo Amusa’s Son Turns 6 Months Old — A Milestone Filled with Wisdom and Joy
Congratulations are in order for beloved Nollywood actress Dayo Amusa, as her adorable son marks his 6-month milestone today! 🎂❤️
With a heart full of gratitude, the actress shared her joy with fans, celebrating not just the passing of time, but the growth, wisdom, and understanding already shining through her baby boy. It’s a moment of reflection, love, and blessings for a journey that continues to unfold beautifully.
Fans and fellow celebrities have flooded social media with warm wishes, praising Dayo for her grace as a mother and showering the little one with prayers for continued health, happiness, and divine guidance.
Every month is a blessing — and at 6 months, this little prince is already stealing hearts!
After nearly 2 months of being cared for, baby Hope – who once made the world feel sorry for his skinny body due to starvation – is now plump and healthy.
Nearly two months ago, the world was shocked when it saw a photo of a 2-year-old boy in Nigeria, his body emaciated, just skin and bones, being given water by a woman. The boy had been living on trash for 8 months after being shunned and rejected by everyone for being a “witch”.
Feeling sorry for the boy’s situation, Anja Ringgren Lovén, a Danish volunteer, also the woman in the photo above, took him to the African Children’s Education and Development Fund (ACAEDF) which she founded 3 years ago to take care of him. The boy was later named Hope, meaning “Hope”.
Nearly two months after being adopted, on March 26, Lovén posted the latest photo of Hope on her personal Facebook account. In the photo, the adorable, chubby boy is happily sitting with his brothers and sisters at the ACAEDF center.
Lovén’s status reads: “Hypospadias is a congenital condition in which a baby is born with a low urethral opening, meaning the urinary tract does not open at the tip of the penis. The doctor who discovered Hope had this condition will perform surgery on him.
Since the doctors have performed this type of surgery many times, Hope will definitely be fine. As you can see, Hope is very happy and joyful when the 35 brothers and sisters at the center take care of him, play with him, give him a sense of security and receive a lot of love.”
According to the Huffington Post, Anja Ringgren Lovén and her husband, David Emmanuel Uwem, from Nigeria, decided to establish the African Children’s Education and Development Charity after she came to this country as a volunteer. Lovén said she wanted to help homeless and abandoned children who were considered witches.
“I went to Nigeria alone and saw children being tortured and beaten to the point of almost death just because people thought they were witches. They lived on the streets. That’s why I decided to sell all my assets in Denmark to come to Nigeria to take care of and support these children,” she once shared.
Regina Daniels and Mercy Johnson: Nollywood’s Golden Mother-Daughter Pair?
Regina Daniels, one of Nollywood’s brightest young stars, continues to impress fans with her talent, grace, and growth in the Nigerian film industry. But behind her success is the steady support of her “mother”, Mercy Johnson, a veteran actress admired for her powerful roles and unmatched versatility.
Together, they represent two generations of Nollywood excellence — one blazing a trail, the other building on it. Their bond, both personal and professional, is an inspiration to many young women striving to make their mark in the entertainment world.
While each has carved her own unique path, the shared values of hard work, resilience, and love for storytelling connect them in the hearts of fans across Africa.
Nigeria’s very own Funke Akindele has just been named one of The Hollywood Reporter’s Most Influential Women in International Film!
She’s not just dominating Nollywood — she’s now being celebrated on a global stage among 46 powerful and visionary women shaping the future of international cinema.
From Lagos to the world, Funke’s impact is undeniable. Her storytelling, resilience, and creativity continue to inspire millions.
Congratulations to a true queen, a trailblazer, and a global force — Funke Akindele!
A Miracle After 14 Years: Segun Ogungbe’s Sister Welcomes a Baby!
Heartfelt congratulations are in order for the family of popular Nollywood actor Segun Ogungbe, as his beloved sister has just welcomed a beautiful baby after 14 years of waiting.
The news has brought immense joy not only to the family but also to fans and well-wishers across Nigeria and beyond. The emotional journey of patience, faith, and hope has finally been rewarded with the precious gift of life.
Social media has been flooded with congratulatory messages, prayers, and words of encouragement for women who are still hoping for their own miracle. This joyous news is a powerful reminder that blessings come in their own time.
We celebrate with the Ogungbe family and pray for good health, happiness, and love for the newborn and her amazing mother.
Un petit déjeuner à 890 000 F CFA : Rosine, Mk Michelle, Bop Dylan et Rach Makosso font sensation
Ce matin, Rosine, Mk Michelle, Bop Dylan et Rach Makosso ont littéralement fait sauter la toile après avoir partagé une note de 890 000 F CFA pour leur petit déjeuner dans un établissement haut de gamme. Entre plats gastronomiques, jus exotiques et cadre luxueux, leur moment matinal a rapidement enflammé les réseaux sociaux.
Certains internautes saluent leur réussite et leur goût du luxe, d’autres dénoncent un geste ostentatoire dans un contexte économique difficile. Mais une chose est sûre : ce petit déjeuner hors norme fait parler, et ne passe pas inaperçu.
Un style de vie qui divise
Ce genre de dépenses impressionnantes illustre bien le style de vie extravagant que mènent certaines figures publiques du moment. Entre glamour, influence et visibilité, ces personnalités continuent de susciter admiration, polémique et curiosité.
Finalement, c’est dans la tombe que Mamiton reçoit son Balafon d’honneur
Ce soir, aux Balafon Seven Awards 2025, un hommage poignant sera rendu à Orgele Kentsop, connue sous le nom de Mamiton. Disparue récemment, l’actrice emblématique du cinéma camerounais se voit décerner le Balafon d’honneur en reconnaissance de ses 20 années de dur labeur et de passion dans l’industrie du 7e art.
Figure incontournable du petit et grand écran, Mamiton a marqué des générations par son talent, son authenticité et son engagement sans faille pour la culture camerounaise. Bien que cette reconnaissance arrive à titre posthume, elle résonne comme un véritable cri d’amour du public et des professionnels du cinéma.
À travers ce geste symbolique, les Balafon Seven Awards rappellent l’importance de célébrer les artistes de leur vivant, tout en perpétuant leur mémoire et leur contribution à la culture nationale.
Bullied by his peers and called ‘cursed’ by neighbours, the youngster has suffered for his condition – but that could be about to change
13:12, 14 Aug 2015
Medical help: Mohammad Kaleem suffers from a form of local gigantism but an operation hopes to change that(Image: Barcroft)
A little boy who suffers from a bizarre condition which makes his hands oversized has had a life-changing operation to reduce them.
Mohammad Kaleem became known as the ‘Boy with the World’s Biggest Hands’ before he underwent dramatic surgery to reduce them.
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Paris: Moment crypto CEO’s daughter attacked in attempted kidnap
The eight-year-old was born with a condition which caused his hands and arms to keep on growing until they looked like giant’s hands, and weighed a colossal two stone between them.
The poor boy’s parents, who earn less than £15 a month, could not afford to pay for doctors, but managed to take Kaleem to a local village hospital which was not able to diagnose him.
Terrible trauma: The Macrodactyly condition caused his hands to grow to a length of 13 inches from wrist to fingertips(Image: Barcroft)
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Living in one of India’s most impoverished parts, Kaleem’s huge hands, which Macrodactyly, or local gigantism, has caused to grow to a length of 33cm from wrist to fingertips, led superstitious villagers to believe he was cursed.
The boy, who was featured on The Boy With the World’s Biggest Hands on Channel 5 on Tuesday, was bullied, called a ‘devil’s child’ and even refused admission to school.
Help at hand: Dr Sabapathy in the operating theatre hoping to decrease the size of Mohammad Kaleem’s hands(Image: Barcroft)
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“The school teachers said they could not take Kaleem. They said his huge hands will scare other kids. So he was denied admission,” said Mohammad Shamim, Kaleem’s father.
As Kaleem grew older, it was becoming harder for him to complete the simplest of daily chores. His huge hands, weighing more than five and a half pounds each, made it difficult for his to wear his own clothes, eat his food, or even take a bath.
Young patient: Kaleem was placed under anesthetic during his first round of surgery(Image: Barcroft)
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But now after international publicity about his case, the eight-year-old has finally been helped by medical experts in south India, who diagnosed the condition macrodactyly, or localised giantism.
Kaleem’s parents had almost given up on medical help and were living with what had happened to their son as ‘God’s will’.
Inside story: This x-ray of Mohammad Kaleem’s torso, arms and hands, shows the extent that local gigantism has affected the growth of his hands(Image: Barcroft)
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But towards the end of last year, the Mohammad family were introduced to Dr Raja Sabapathy – a pioneering hand surgeon who is known for his expertise in micro surgery. Dr Sabapathy took on the challenge to help improve Kaleem’s hands.
“Dr Sabapathy gave us hope after seeing Kaleem. He was the first doctor who told us that some sort of remedy was possible to help our son,” said Haleema Begum, Kaleem’s mother.
Improved life: Kaleem being examined by doctors who have attempted to scale back the size of his hands(Image: Barcroft)
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The recently-televised documentary followed the family as they travelled thousands of miles from their village to Tamil Nadu, to see Dr Sabapathy and his team of expert surgeons at Ganga Hospital, Combiatore.
In one of the most complex cases ever seen, Dr Sabapathy and his team were faced with finding a way to reduce the size of Kaleem’s hands and fingers, without damaging any of his nerves, so that he would still be able to use them.
Tough decisions: Kaleem’s father, Shamin has struggled to find money to pay for medical bills(Image: Barcroft)
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“We decided to go for just one hand to begin with. This was our best way to assess the condition,” said Dr Sabapathy. “At the same time, we did not want to affect the boy’s mobility.”
Kaleem faced an eight-hour surgery to debulk his forearm and hand, and further surgeries to reduce the growth plates so that his hand and fingers would not grow any further.
All set: Kaleem waits to be measured and weighed by doctors during a pre-surgical examination(Image: Barcroft)
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But in the family’s home village, superstitious residents remained convinced Kaleem had been cursed and that surgery would be useless.
“There is no treatment for this boy. He is a devil’s child. This is just because his parents must have committed a wrong deed at some point in their life,” said Mohammad Kaleem, Shamim’s brother.
Misunderstood boy: Kaleem with other young people in his village, where many fear him(Image: Barcroft India)
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Other villagers also believed in the myth. But Kaleem’s parents decided to follow Dr Sabapathy’s advice.
“We knew that there is no such thing as a devil’s child. The villagers love to gossip and that is what they are doing about our son. Ultimately, he is our son and we have to take care of him,” said Shamim.
Large issue: Kaleem’s hands measure 13 inches from the base of his palm to the end of his middle finger(Image: Barcroft India)
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The documentary follows Kaleem as he undergoes a series of difficult operations, and having physiotherapy to try to help him use his new hand. Now, the family is considering further surgery on Kaleem’s left hand.
But in their village, Shamim and Haleema were faced with the challenge of overcoming negative reactions of family and neighbours so that Kaleem could settle back into normal life.
Real struggle: The cricket fan is unable to do many basic tasks – including tying his shoes laces(Image: Barcroft India)
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Amanullah Khan, a village elder, said: “It seems that a solution is possible. Here in the village, we thought that the boy was cursed by God. But we think there is a change of fortunes now and the boy might have a better future.”
Shamim is now optimistic that his son will finally be able to have a normal schooling.
Tough times: Kaleem’s parents earn just £15 a month(Image: Barcroft India)
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Mohammad Sabir, the local school headmaster, said: “We know Kaleem. He had tried to take admission in the school, but for certain reasons we could not accommodate him.
“We’ve now had news that he is being treated.
“With improvement in his hand, we feel that he can begin classes. We are also instructing our schoolchildren to not bully Kaleem.”
Douala : Un homme de 47ans attrapé en train de doig-ter une petite fille de 11ans 
Une fois la petite fille va même avouer et se plaindre en pleurant auprès de sa mère, mais elle ne la croira pas kooo le voisin ci est trop gentil pour faire ça ! La petite va se rétracter et vivre le même calvaire chaque fois.
Sika a été embarqué, la mère de la fille reste inconsolable mais à qui la faute ??? Elle seule! C’est donc où mène la négligence !!!
